macon beton sol

Daniel, 45 ans, maçon à Avignon.

Il y a quelques années, même moi, je n’aurais pas pensé pouvoir me présenter avec autant d’assurance. Avant d’en arriver où je suis, j’ai connu des hauts et des bas. Aujourd’hui, c’est avec un enthousiasme non feint que je réalise des fondations et coule du béton. Oui… Devenir maçon est un métier de passion.

Au contact de la pierre, j’ai l’impression d’être vivant, d’apporter ma pierre à l’édifice sociétal. Par ailleurs, sur le plan financier, je ne suis pas à plaindre. Sans être un millionnaire qui passe ses vacances au Burj Khalifa, je peux mettre ma femme et mes trois enfants à l’abri du besoin.

Je m’égare…

Je suis Daniel, 45 ans, maçon à Avignon et ceci est mon parcours.

Une enfance modeste et heureuse

Je suis né à Aulan dans la Drôme. Autant dire que j’ai été nourri à l’herbe fraîche et au lait bio de vaches ! Ma mère s’occupait du foyer tandis que mon père était guide touristique au château d’Aulan. J’ai deux frères ainés et une petite sœur.

Dès ma jeune enfance, j’ai été attiré par les métiers tactiles. J’aimais toucher les matériaux, les sentir prendre forme entre mes mains. C’est donc tout naturellement que j’ai suivi un CAP constructeur d’ouvrage en béton armé.

Au sortir de ma formation, j’ai hésité… Commencer à travailler directement ou alors me spécialiser encore plus ? Finalement, j’ai écouté la voix de la raison (et de ma mère) et ai rajouté une seconde casquette à mon curriculum. Trois ans après mon CAP, j’ai décroché un Bac Pro métiers de la pierre.

Et ensuite, j’ai sauté à pieds joints dans la vie professionnelle…

ouvrier dalle beton

Mes premiers pas en tant que maçon

Très vite, il s’est avéré qu’Aulan ne me permettrait pas d’exprimer tout mon savoir-faire. En même temps, même à ce jour, la ville ne compte que 1 950 habitants… C’est ainsi qu’à peine âgé de 18 ans, j’ai déposé mes valises à Avignon dans l’espoir de décrocher un emploi.

Cette stratégie a-t-elle été payante ? Oui et non. Oui car j’ai rapidement été pris sur des chantiers. Non car je travaillais dans des conditions précaires et était payé au lance-pierre. Plus d’une fois, j’ai pensé à plier bagages et à retourner dans l’Aune mais pour quoi faire ?

Pendant six ans, j’ai plus ou moins survécu à Avignon. Tantôt en foyer-jeunes, tantôt en maison d’accueil, j’ai eu de la peine à trouver ma place dans cette grande ville. Et puis, un jour, tout a basculé…

Enfin… L’heure de la consécration est arrivé !

Après six ans à Lyon, j’étais épuisé mentalement, physiquement et même financièrement. J’en étais venu à me demander si je pourrais vivre décemment de ce métier que j’adore. Et alors que je m’apprêtais à jeter l’éponge, mon colocataire de l’époque m’a parlé d’une plateforme où trouver des missions correctement rémunérées et des emplois bien payés.

C’est sans réelle conviction que j’y ai créé un compte. À ma grande surprise, je décrochais un emploi dans le Vaucluse. Un poste stable, en CDI et surtout dont la rémunération tenait compte de mon savoir-faire. Enfin… après tout ce temps, j’ai pu voir la lumière au bout du tunnel.

Il n’y a pas de mots suffisamment forts pour exprimer ma reconnaissance envers Pacajob. Sans ce portail, rien ne garantit que j’aurais enfin réussi à mettre la tête hors de l’eau.

Je suis Daniel, 45 ans, Maçon à Avignon et je recommande chaudement Pacajob aux chercheurs d’emploi.

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